idées de business à éviter

Les idées de business en ligne à ne jamais faire en 2025

Habituellement, les sites parlent des meilleures idées de business qui fonctionnent pour 2025. Mais nous nous allons aujourd’hui évoquer les business à ne surtout pas faire pour éviter les pertes inutiles.

Débuter et réussir en dropshipping est une mission impossible en 2025

Le dropshipping, autrefois une opportunité séduisante pour créer un business en ligne, est devenu en 2025 un terrain extrêmement difficile, voire risqué, pour les entrepreneurs. Les promesses de succès rapide cachent des réalités économiques et logistiques qui rendent ce modèle bien moins attractif.

Des formateurs qui profitent davantage que les élèves

Des influenceurs comme Yomi Denzel, Lucas Bivert, et Franck Houbre proposent des formations à des tarifs élevés, dépassant souvent 1 000 €. Bien que ces programmes soient bien structurés, leur véritable source de revenus repose sur la vente de ces formations, et non sur le dropshipping lui-même.

📊 Statistique clé : Selon une analyse récente, seuls 5 % des élèves ayant suivi ces formations parviennent à atteindre des résultats significatifs.

Des coûts de démarrage sous-estimés

Contrairement à la promesse de « commencer avec presque rien », lancer une boutique en dropshipping exige un investissement important :

  • Création de la boutique en ligne (via Shopify ou WooCommerce) : à partir de 30 €/mois.
  • Publicité en ligne (Facebook Ads, Google Ads, TikTok Ads) : les campagnes nécessitent un budget mensuel moyen de 2 000 € à 4 000 € pour générer un trafic conséquent.
  • Outils de gestion et d’automatisation (ex. : Oberlo, Dropified) : entre 50 et 100 €/mois.
  • Frais annexes (frais de transaction PayPal ou Stripe, retours produits, gestion des litiges) : jusqu’à 15 % du chiffre d’affaires.

💡 En moyenne, un dropshipper débutant doit prévoir un budget de départ d’au moins 5 000 €, sans aucune garantie de rentabilité.

Une concurrence féroce

En 2025, le dropshipping est un marché saturé. Des milliers de boutiques proposent les mêmes produits achetés sur AliExpress ou CJ Dropshipping. Cette concurrence génère :

  • Une guerre des prix constante, réduisant les marges bénéficiaires.
  • Une difficulté accrue à se démarquer sans un branding solide et coûteux.

Des marges trop faibles pour être viables

Le dropshipping repose sur l’achat de produits bon marché pour les revendre à un prix plus élevé. Cependant :

  • Les marges réelles, après déduction des frais publicitaires et logistiques, tombent souvent sous les 10 %.
  • De nombreux entrepreneurs se retrouvent en déficit après quelques mois d’activité.

Le copy trading est un des investissements à ne pas faire cette année

Le copy trading promet de simplifier les investissements financiers en suivant les stratégies des traders expérimentés. Cependant, ce modèle présente des risques majeurs qui en font une pratique peu recommandée pour les investisseurs non avertis.

Une promesse trompeuse

Le copy trading repose sur l’idée de « copier » automatiquement les transactions de traders expérimentés sur des plateformes comme eToro ou ZuluTrade. Les influenceurs tels que Tomsursnap, Mohamed BDJ et ZK Crypto le présentent comme une solution sans effort pour générer des profits.

Cependant, ces promesses omettent des réalités importantes :

  • Les performances passées d’un trader ne garantissent pas ses résultats futurs.
  • Les conditions de marché peuvent changer brusquement, entraînant des pertes imprévues.

Des chances de profit très faibles

📊 Statistique clé : Les données montrent que 9 positions sur 10 copiées par les investisseurs novices sont perdantes.

Les raisons sont multiples :

  • Les stratégies des traders expérimentés incluent souvent des risques élevés.
  • Les frais de transaction s’accumulent rapidement, réduisant encore les chances de rentabilité.

Un capital à risque constant

Le copy trading expose les utilisateurs aux mêmes pertes que les traders qu’ils suivent. Si un trader prend une décision risquée, l’investisseur en subit directement les conséquences.

  • Les pertes peuvent être amplifiées par l’utilisation d’un effet de levier, une pratique courante mais risquée.
  • Il est également possible de perdre l’intégralité de son capital si le trader suivi adopte une stratégie défaillante.

4. Pourquoi ce modèle est-il promu ?

Les influenceurs qui vantent le copy trading sont souvent rémunérés par les plateformes via des programmes d’affiliation. Leur objectif est donc de recruter de nouveaux utilisateurs plutôt que de les aider à réussir financièrement.

Monter une agence onlyfans ne serait plus rentable à partir de 2025

En 2024, créer une agence OnlyFans était une idée en vogue. Pourtant, en 2025, ce modèle montre de sérieux signes d’essoufflement.

Des revenus très inégalitaires

Contrairement aux affirmations de certains formateurs, la majorité des créateurs sur OnlyFans génèrent des revenus modestes :
📊 Statistique clé : Environ 80 % des créateurs gagnent moins de 180 € par mois.

Seuls quelques modèles avec une grande notoriété ou des moyens marketing importants parviennent à dépasser les 10 000 € mensuels.

Des coûts marketing énormes

Pour réussir sur OnlyFans, il faut investir massivement dans la promotion :

  • Publicité ciblée sur les réseaux sociaux.
  • Création de contenu de qualité nécessitant des équipements professionnels.

Ces dépenses, souvent sous-estimées, rendent ce business peu viable pour les agences débutantes.

Le mythe des modèles IA

L’idée de remplacer les créateurs par des avatars virtuels ou des IA promettait une marge de 100 %. Cependant, cette stratégie reste spéculative et largement inefficace en pratique.

La vente de formation est aussi un business en déclin depuis fin 2024

Autrefois pilier du business en ligne, la vente de formations montre depuis fin 2024 des signes évidents de saturation et de perte de confiance.

Une offre surabondante

Le marché des formations en ligne est saturé, avec une explosion d’offres dans toutes les niches possibles. Résultat :

  • Une concurrence féroce qui rend difficile la différenciation.
  • Une baisse des prix pour attirer les clients, réduisant la rentabilité des formations.

Une perte de crédibilité

De nombreux formateurs exagèrent leurs réussites financières pour séduire les acheteurs. Cette pratique érode la confiance des consommateurs.
📊 Statistique clé : Environ 70 % des formations achetées ne sont jamais terminées, laissant les clients frustrés et insatisfaits.